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Adresse principale : Place de l'Abbaye 1, DINANT (Dinant)

Notice

N° 1. Abbaye Notre-Dame de Leffe, chanoines prémontrés de Saint-Augustin. A la sortie de la petite vallée encaissée de la Leffe qui se jette non loin dans la Meuse, vaste quadrilatère en briques, pierre de taille et moellons de calcaire aux toitures d'ardoises, amputé de plusieurs bâtiments -dont l'église- durant les troubles de la Révolution française et dont la construction et les transformations s'échelonnent du XVIIe au XXe s. (fig. LIV).
Existence d'une église attestée dès le XIe s., où vivent des religieuses puis des chanoines séculiers. En 1152, fondation par le comte de Namur Henri l'Aveugle d'un prieuré prémontré à cet emplacement, dépendant de l'abbaye de Floreffe. Erigé en abbaye indépendante en 1200, monastère dévasté par une inondation destructrice en 1460 puis par le sac de Dinant en 1466. Grands travaux de reconstruction entrepris dès le début du XVIIe s. et durant tout le XVIIIe s. (fig. 331). Pillages et destructions -notamment dans l'église- en 1794 par les troupes françaises. Suppression légale et nationalisation en 1796, précédant la vente de l'abbaye en 1798, rachetée par les religieux. En 1812, le dernier ex-abbé F. Gérard, alors propriétaire, teste en faveur de sa nièce. A partir de ce moment, transformation des bâtiments en manufacture (verrerie puis papeterie et fabrication de lin); constructions délabrées, servant en outre de carrière de pierres (destruction progressive de l'église jusqu'à la fin du XIXe s.). Plusieurs fois revendue ou léguée en héritage, abbaye finalement cédée en 1902 à des chanoines prémontrés de Frigolet (France) exilés par la loi Combes; bâtiments alors restaurés. Après la 1re guerre mondiale, retour des chanoines français dans leur pays et arrivée à Leffe, à partir de 1928, de nouveaux chanoines de Tongerlo qui, tout en vivant en communauté, se consacrent à l'administration de paroisses. Dans les années 1950 et 1980, interventions de l'architecte F. Bonaert qui restaure principalement les toitures et certaines façades.
Extérieur visible sur deux faces seulement : à l'O., ancienne grange et, au N., longue façade percée d'un portail central.
Bâtie en 1710 par l'abbé Perpète Renson, grange (1) en moellons réglés sur un soubassement d'un rang de pierre de taille biseautée; chaînes d'angle. Bâtière d'ardoises à croupettes et coyaux posant sur une grosse corniche de pierre moulurée que limite un bandeau saillant. Dans l'angle N.O.,
léger décrochement percé d'un portail en tiers-point, daté de 1903 au tympan, année de la transformation de la grange en église. Hautes fenêtres en arc brisé remontant elles aussi à cette date. Vers le S., bâtiment empâté dans des maisons de briques ou de moellons tardives (XIXe s.), dont l'ancienne brasserie de l'abbaye, à l'angle de la r. G. Poncelet.
Adossée au mur pignon de l'église, tour d'angle (2) alignée à la façade N. de l'abbaye. Sur un soubassement biseauté en grand appareil de pierre de taille très élevé et percé de quelques soupiraux et de deux portes récentes, haut mur de brique renforcé de chaînes de pierre et percé d'ouvertures tardives. Soulignés par un bandeau de pierre, les deux niveaux supérieurs modernes, édifiés en 1935, le dernier, abritant un carillon, ajouré par des arcades en plein cintre sur colonnes toscanes. Pavillon à la Mansart à forts coyaux que termine un épi bulbeux piqué d'une aigrette et comptant une lucarne à croupe sur chaque versant. Sur le même soubassement, face N. de l'abbaye se prolongeant jusqu'au portail de l'ancienne église en retour d'équerre, barrée de divers bandeaux de pierre limitant plusieurs niveaux. Seul le supérieur est continu, les autres interrompus par une couture dans la maçonnerie à g. du portail, sans coïncidence entre eux. Trois fenêtres à meneau et montants harpés dans la partie g.; au départ de la couture vers la tour, sept fenêtres aux montants entre deux harpes sous linteau droit, sur deux niveaux différents. Datant probablement du XVIIe s., portail aujourd'hui en contrebas à la suite de l'exhaussement de la voirie au XXe s., accessible par un escalier limité par deux courts murets ponctués d'un petit pilier sommé d'une sphère. Encadrement en plein cintre bordé d'un tore épais, à bossage un-sur-deux, les dés en retrait à angle adouci. Clé de l'arc légèrement pendante; corniche droite moulurée sous une niche tardive. Boiserie ancienne restaurée. Bâtière assez aiguë dont les coyaux posent sur une corniche de pierre moulurée sur corbeaux, soulignés par un bandeau; huit lucarnes à croupe.
Seul vestige conservé de l'église abbatiale (1714-1719, par l'architecte A. Lambrecht, futur abbé, sous l'abbatiat de Perpète Renson), partie inférieure de la façade (3) en grand appareil de pierre de taille présentant aujourd'hui deux hauteurs différentes. Sous un petit toit d'ardoises, portail en plein cintre au bossage un-sur-deux, chaque montant doublé d'une colonnette engagée de type toscan sur haute base à panneau saillant et annelée par la poursuite du bossage. Entablement classique orné d'un panneau muet à crossettes dans la frise et surmonté d'une niche à coquille (néo?)baroque flanquée de volutes, portant l'inscription « CONSOLATRIX AFFLICTORUM». Sur haute base appareillée, pilastres encadrant le portail, deux moins élevés à g., un seul à dr. (percé d'une ouverture moderne), le suivant sans doute camouflé par la façade N. Au revers du portail, courette moderne (accès à l'abbaye) conservant un chapiteau médiéval d'une colonne de l'église St-Menge disparue, à Dinant.
Face extérieure orientale de l'abbaye donnant sur l'ancien cloître (4) qui jouxtait l'église au S., conservant aujourd'hui un bassin et quelques pierres sculptées de remploi. Replacée en 1973 dans le mur N. moderne en moellons, porte de l'ancien béguinage de l'abbaye, proche de l'église St-Georges et lui aussi disparu. Du XVIIe s., encadrement rectangulaire ménageant une ouverture en plein cintre; sur une base ornée d'un motif sculpté, larges montants ornés de pilastres toscans annelés. Corniche plate récente en saillie, couronnement disparu. Inscrit dans un motif sculpté baroque à volutes, écu surmontant la porte, gravé de l'inscription «DVO EX / DISCIPVLIS / IESV IBANT / IPSA DIE IN / CASTELLVM / NOMINE / EMMAVS / LVC.XXIIIe» (fig. 332). Façade extérieure proprement dite de l'aile orientale sur deux niveaux, comptant de nombreuses travées résultant de différents remaniements dont les derniers au XXe s. Vraisemblablement du XVIIe s. à l'origine, mur de moellons conservant une porte en plein cintre appareillé et, dans le retour S., une haute fenêtre à croisée murée, partiellement camouflée par une annexe moderne. Dans le parement bouleversé, huit travées de baies tardives, la plupart au linteau droit sur montants à trois harpes. Trois lucarnes rampantes. Annexes basses modernes en brique donnant sur le cloître.
Face extérieure S. sans intérêt architectural, aménagée v. 1950 d'après un projet (simplifié) de F Bonaert; sur deux niveaux en moellons, quatorze travées de baies néo-classiques, les cinq (?) dernières agrandissant le bâtiment vers l'E. où s'élèvent dans l'angle S.E. des annexes modernes. Subsistent de maigres vestiges d'encadrement de baies anciennes et, dans un mur intérieur derrière l'agrandissement, quelques ouvertures traditionnelles obturées. Neuf lucarnes à croupe dans la bâtière à coyaux.
De ce côté de l'abbaye, dans un mur de clôture, ancien portail de récupération partiellement restauré, conservant dans la frise de l'entablement l'inscription «HOC FRONTISPICIVM DVX PERPETVVS RENSON EREXIT» (1744); fronton triangulaire aux armes de la famille Renson à présent disparu (ce portail se trouvait dans l'ancienne halle des arbalétriers de Dinant (XVIIe s.), réaménagée au XVIIIe s. par le bourgmestre de la cité, frère homonyme de l'abbé Renson; elle a été détruite en 1970).
Encore peinte au déb. du XXe s., cour intérieure (5) jadis divisée par une aile transversale en deux parties distinctes : à l'O., cour cernée des bâtiments agricoles (grange, écuries, réserves, etc.); bâtiments monastiques à l'E. Fonction agricole complètement disparue aujourd'hui, les deux espaces réunis en un seul par la disparition de l'aile médiane.
Façade O. de l'église (ancienne grange) conservant les seules ancres 17[...]. Sur la dr., une travée de deux fenêtres au linteau en anse de panier à clé sur montants entre deux harpes, sans doute d'origine. Autres baies en tiers point du XXe s. Aménagé en 1903, intérieur de l'église mononef remanié en 1937, étagé sur trois niveaux. Quatre chapelles latérales dans le mur E.; fenêtres en tiers-point, murs enduits et plafond en berceau brisé lambrissé.

Autel de marbre blanc central séparant les stalles néo-gothiques de l'assemblée; grand vitrail éclairant le choeur depuis 1964, dû à J. De Cuyper, de Blaasveld. Orgues réalisées en 1995-1996 par la manufacture André Thomas de Ster. A remarquer enfin, une excellente copie d'une Adoration des bergers de Hugo van der Goes, par Frans Meerts (1836-1896).

Aile S. (6) édifiée en plusieurs temps. Au départ de l'angle S.O., trois niveaux de seize travées dans un parement de briques, le premier niveau en moellons, remontant au XVIIIe s. Fenêtres aux montants entre deux harpes, épais linteaux droits et minces appuis reliés en bandeaux. Frise de briques dentée sous la bâtière à coyaux qui compte huit lucarnes à croupe.
Sous un petit porche néo-baroque en saillie (XXe s.) en brique et pierre sous Mansart d'ardoises qui marque l'extrémité de cette partie, porte de remploi en anse de panier à clé sculptée, accessible par un escalier moderne.
Haut aileron perpendiculaire (7) ensuite, dont la façade-pignon est datée de 1661 par une dalle armoriée et gravée de la devise «VIRTVTE PERENNI» de l'abbé Perpète Noizet. En large saillie sur un haut soubassement de pierre de taille, trois niveaux en brique et pierre, le dernier inclus dans le pignon, comptant à l'origine trois travées de fenêtres sans doute à croisée. Complètement transformée au XXe s. par F. Bonaert, façade de deux travées de triples croisées sur deux niveaux, le supérieur comptant deux oculi ovales encadrant une fenêtre à triple meneau, en remplacement d'une précédente, moins large et plus haute. Chaînes d'angle et nombreux bandeaux; toiture à la Mansart amortie d'un épi, posant sur une frise redentée. Une travée de fenêtres à croisée murées dans la face latérale orientale, deux travées semblables sans doute dans la face opposée, entièrement refaçonnée et camouflée en outre par le porche, n'en gardant plus que des vestiges épars.
Enfin, réalisée par l'abbé Pierre Lefèvre, construction datée par ancres de 1682 (8) dans la façade en briques et calcaire, à deux niveaux de cinq travées. Baies originelles à croisée, «classicisées» par la disparition des croisées à une époque inconnue, rétablies dans la 1re moit. du XXe s. Des deux portes latérales originelles, seule subsiste aujourd'hui celle de dr., sur emmarchement. Sous une fenêtre d'imposte à meneau, porte aux montants monolithes creusés d'une gorge, dont les impostes reçoivent l'arc en anse de panier à claveaux saillants, inscrit dans un panneau rectangulaire. Haut soubassement en pierre de taille limité par un cordon larmier qui sert d'appui aux fenêtres dont traverses et linteaux sont reliés en bandeaux. Bâtière à croupettes et coyaux, où alternent cinq lucarnes rampantes et à croupe; corniche de pierre moulurée sur corbeaux posant sur un boudin.
Aile orientale occupée par l'ancienne prélature (9) aménagée par l'abbé A. Lambrecht en 1747 sur un gros oeuvre plus ancien (cf. infra, face arrière). Façade en grands moellons réglés de deux niveaux et cinq travées, hormis celle d'accès. Hautes fenêtres rectangulaires probablement postérieures (XIXe s.?) en très légère saillie (façade enduite à l'origine). Porte sur emmarchement, aux montants de pierres en délit, creusées chacune d'un panneau écorné; linteau droit relié à un oculus (ancien emplacement d'une horloge) par un triangle de pierre au centre duquel figure l'inscription «PAX / HVIC / DOMVI / 1747». Corniche moulurée sur corbeaux sous la bâtière à coyaux (quatre lucarnes à croupe), interrompue à l'extrême dr. par une bâtière perpendiculaire au pignon de brique, résultant d'un aménagement sans doute postérieur, y compris la travée de fenêtres qu'il surplombe. (A noter qu'un escalier intra-mural, récemment découvert, reliait la prélature au jubé de l'église.)
Aile N. composée de trois parties distinctes : dans le retour de la prélature, l'ancien hôpital (?) et le quartier des hôtes (10), puis un aileron néo-baroque (11) dû à l'abbé J. Bauwens (1930-1944) et, enfin, un bâtiment agricole (12) à l'origine, du XVIIIe s. Restauré au XXe s., quartier des hôtes du début du XVIIe s. peut-être, s'il fallait en croire la reconstitution moderne d'un tympan de porte intérieure où figurent la date et la devise de l'abbé G. Duterne (CONSOLATIO MEA DEVS - 1604). Sur un soubassement en grand appareil calcaire, deux niveaux de sept travées -dont deux jointives- de fenêtres à croisée restaurées, reliées en bandeaux à hauteur des linteaux, des traverses et des appuis, ceux-ci formant à l'étage un cordon larmier. Dans l'angle, porte aux montants monolithes sur base, arc mouluré en anse de panier à claveaux saillants sur impostes, inclus dans une dalle rectangulaire à crossettes ornées de petites volutes. Haute fenêtre d'imposte à meneau. Seconde porte plus petite entre les 5e et 6e travées, dont les montants monolithes moulurés portent aux impostes un arc en anse de panier à clé. A sa g., couture dans la maçonnerie (qui se retrouve à l'extérieur), marquant une limite initiale du bâtiment (?). Quatre lucarnes à croupe dans la bâtière aux coyaux saillants, corniche moulurée sur corbeaux et boudin.
Bâti v. 1940, aileron néo-baroque en brique et pierre de trois niveaux sous un pignon à volutes, prolongeant l'entrée cochère. Celle-ci aux murs de moellons sous voussettes de briques, ouverte par le portail extérieur précédemment décrit. Porte piétonne latérale murée, (post?) gravée au linteau de 1595; toutes les autres ouvertures de remploi, sauf le portail en plein cintre appareillé côté jardin, camouflé par l'aileron.
Entre ce dernier et la tour d'angle, aile en brique et pierre sous bâtière soulignée d'une frise dentée et ponctuée de cinq lucarnes à croupe. Trois niveaux de six travées (une septième tardive percée contre l'aileron); 1er niveau en moellons. Fenêtres aux montants entre deux harpes, linteaux et appuis reliés en bandeaux, celles du dernier niveau beaucoup plus petites.
Après 1918, construction d'un cloître dans la partie occidentale de la cour intérieure : galeries de briques stuquées aux larges ouvertures vitrées en anse de panier. Disparition de la galerie E. v. 1940 et aménagement, en 1946, d'un grand jardin d'agrément que traverse la Leffe, souterraine et canalisée.
A l'intérieur des bâtiments, nombreuses oeuvres d'art de toutes époques et de tous styles (meubles, peintures, sculptures) dont certaines prêtées par le Musée du Cinquantenaire.
Enfin, ancienne bibliothèque de l'abbaye (r. Remy Himmer, n° 27), désormais isolée par la disparition, durant la Révolution française, d'une longue aile qui l'y reliait; érigée par l'abbé Perpète Renson en 1720, elle a abrité des religieuses et, aujourd'hui, une école (celle-ci complétée à l'E., en 1986, par un bâtiment en blocs de béton rose dû à l'architecte Ph. Jaspard de Bouvignes). Long volume étroit à étage en briques et calcaire limité par des chaînes d'angle harpées (fig. 333). Bâtière d'éternit à coyaux et croupettes, soutenue par une corniche moulurée sur cordon et ponctuée de quatre lucarnes à croupe. Façade principale N. en briques peintes; sur les deux niveaux, neuf travées de baies : fenêtres d'étage à croisée (une à traverse), montants harpés, appuis, traverses et linteaux se prolongeant en bandeaux, sans adéquation avec les chaînes d'angle. Une fenêtre semblable à dr. du r.d.ch., entre deux portes en plein cintre tardives, que relient des bandeaux eux aussi tardifs. Six arcs quasiment en plein cintre sur piliers monolithes à imposte et base profilées ouvrant largement le reste du r.d.ch.; piliers extrêmes appareillés. Châssis modernes en retrait, fermant une vaste salle (ancien scriptorium?) dont six piliers monolithes semblables aux précédents soutiennent des voûtes d'arêtes en briques peintes séparées de doubleaux; pilastres sur les côtés, impostes engagées dans le mur du fond. A noter que tous les éléments de pierre de la façade paraissent retaillés, voire récents (XIXe ou même XXe s.?). Murs pignons en moellons, harpés aux angles et percés à hauteur du comble de deux fenêtres tardives. Au 1er étage, porte (du XIXe s.) accessible par un escalier extérieur moderne. Intérieur du bâtiment réaménagé au XXe s.
Enfin, face arrière quasiment aveugle actuellement, édifiée en gros moellons et couronnée d'une frise de briques dentée; deux lucarnes à croupe dans la toiture. Baies tardives encadrées de briques en anse de panier murées au r.d.ch. A l'étage, deux fenêtres semblables, dont l'une incluse dans un encadrement harpé au linteau cintré, du XVIIIe s., une troisième au linteau droit sur montants entre deux harpes, peut-être également du XVIIIe s. Dans l'angle S.O., traces d'arrachement ou de réfection. E.G.[1457]

H. LAMY, Glanes historiques sur l'abbaye de Leffe, Tongerlo, s.d. [1949); C. VAN DEN STEEN, Leffe dans GROUPE CLIO 70, Abbayes de Belgique -Guide, Bruxelles, 1973, p. 136-151; M. PACCO, L'abbaye Notre-Dame de Leffe à Dinant, s.l., 1978; A. NICOLAI, Notre-Dame de Leffe - Une abbaye prémontrée en pays mosan, Dinant, 1987; C. PACCO, l'ancienne halle des arbalétriers à dinant dans DMA, no 10, 1990, p. 5-14.

Prospection

Prospection effectuée en 1996

Code de la fiche

91034-INV-0077-01

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